-
Il s'agit de la première zone que l'on visite dans le parc, il s'agit d'une des plus petites zone avec deux parties bien distinctes.
Il y a d'abord un grand enclos (photo ci-dessus) qui accueille des girafes de Kordofan et aussi des zèbres de Grévy.
Il reste une espèce encore visible dans cette petite zone qui est le renard volant du Vietnam. Oui oui, il s'agit d'un intrus, mais c'est le seul du Bioparc pour le coup !
votre commentaire -
La Cité de Immortels est la partie du parc consacrée à la Chine. Elles se divise en trois parties, le jardin chinois, le chemin de la guérison et enfin la montagne sacrée. Une 4ème partie devrait bientôt voir le jour avec le temple bouddhiste et son vivarium asiatique.
1) Le jardin chinois
Il s'agit du plus grand jardin chinois d'Europe, il est présenté sur une pente que l'on descend au milieu d'une forêt de bambou. Il y a également une cascade qui donne sur un plan d'eau, le tout est particulièrement beau.
La balade dans le jardin chinois commence par un enclos occupé par des grue du Japon si belle avec leur tache rouge et leur cou noir.Un peu plus loin, on verra un couple de panda roux qui a eu un petit cette année. Ils font assez souvent la sieste mais vous aurez peut-être la chance de les voir en train de manger leur branche de bambou.
On commence la descente avec à notre droite un enclos occupé par des petits cervidés qui se nomme muntjack indien. C'est un petit cervidés qui se défend avec ses canines et non ses petits bois.
Un peu plus bas encore on se retrouvera face à un "intrus" de la Cité des immortels, il s'agit en effet des loutres géantes qui sont en vérité originaire de la forêt amazonienne. Elles sont parmi les plus grands prédateurs d'Amériques du Sud. Les deux mâles se montrent particulièrement bruyant...2) Chemin de la Guérison
Cette partie de la Cité des Immortels est consacrée aux grues et aux cigognes dont on trouve ici une grande variété. On commence par les grues du Japon qu'on retrouve après en avoir croisé plus haut.
Un peu plus loin sur la gauche c'est une autre grue que l'on retrouve. Il s'agit de la particulièrement belle grue demoiselle de Numidie qui pourtant malgré son nom vit en majorité en Asie.
En continuant le chemin qui est très bien balisé, on verra la belle et gracieuse grue à cou blanc que l'on retrouve dans les grandes vallées humides d'Extrème-Orient.
La visite mène à un enclos assez vaste regroupant plusieurs espèces d'oiseaux, il y a des cigognes blanches que l'on trouve en Europe et qui est le symbole de la région Alsacienne. On y verra aussi de Cygne de Bewick.On y trouvera parfois des intrus comme des hérons cendrés sauvages qui viennent parfois squatter en nombre (7 en même temps la dernière fois) l'enclos sans pour autant déranger les habitants de l'espace.
On continue la visite avec une espèce "intruse" avec le Jabiru du Sénégal qui arbore les 3 couleurs nationale belge ce qui fait son effet le 21 juillet.
Un peu plus loin on verra une espèce de grue à la tête assez particulière, la grue de Paradis. Elles ont aussi la fâcheuse tendance de fuguer de leur enclos, il n'est donc pas rare de les voir dans les environs de leur enclos.
Un espèce de grue a fait son retour l'année passée dans le parc, il s'agit de la grue de Sibérie avec son superbe plumage blanc éclatant.
Le chemin de la guérison se termine avec une autre espèce de grue qui est revenue l'année dernière : la grue à cou noir.
3) La montagne sacrée
C'est la dernière partie consacrée à la Cité de Immortels, c'est la partie la plus récente de cette zone qui a été aménagée en 2014 avec l'arrivée des animaux stars duparc : les pandas !
La première espèce visible est pourtant la panthère des neiges représentées par un couple aux relations un peu tumultueuses pour le moment. On commence avec la femelle nommée Leïla qui nous vient d'Allemagne, elle aime se tenir sur son rocher pas loin du temple. Elle bouge quand même assez souvent dans son enclos.
L'enclos suivant est celui du mâle qui porte le nom de Jeti (à prononcer comme l'homme des neiges du Tibet. Il aime beaucoup observer le takin doré qui semble lui donner envie... C'est un assez grand amateur de sieste dans divers endroit de son enclos.
Juste après les félidés, on peut voir une espèce d'ongulés asiatiques montagnard : le takin doré dont le pelage blond rend très bien par temps ensoleillé.
C'est ainsi qu'on arrive au couple d'animaux star de Pari Daiza : les pandas géants. En venant des takins, on verra d'abord Xing Hui le mâle qui a clairement un penchant pour la sieste et ne bouge qu'au matin durant le nettoyage des loges intérieures.
Enfin pour terminer la zone on verra la femelle qui porte le doux nom de Hao Hao qui est bien plus active que le mâle. Elle fait d'ailleurs parfois de belle cabrioles comme ici avec son arbre.
votre commentaire -
Le zoo d'Olmen nous présente une belle collection de rapaces pour un zoo généraliste, même si la taille de cette collection n'atteint pas celle de Pairi Daiza, elle mérite de s'y attarder.
La Roofvogelroute commence par une grande volière abritant 3 espèces d'oiseaux. Il y a d'abord un vautour fauve que vous pouvez voir ici en train de manger une carcasse.La volière est aussi habitée par un urubu noir qui se tient souvient sur l'un des cordes traversant la volière. Il est parfois caché dans le fond et sa couleur noire le rend dès lors peu visible.
Les dernières espèces présentes dans la volière sont un peu plus petites. Il y' a d'abord une buse de Harris qui aime parfois se cacher dans les feuillages. La dernière espèce n'est pas un rapace mais un corvidé, il s'agit du corbeau pie qui porte son nom en raison de ses couleurs et pas en référence à l'oiseau du même nom bien que ces couleurs soient identique.
La visite se poursuit par deux volières de chouette exotique. Il y a d'abord une boubouk (photo indisponible) et une chouette masquée.
Ensuite s'enchaine une série de volières consacrées aux rapaces dits "nocturne", il y a par exemple trois espèces de grands-duc (américain, indien et européen).
On reste dans les hiboux avec les harfangs des neiges qui aiment passer pas mal de temps au sol. Il y a ensuite une volière avec des chouette leptogramme.
Ensuite il y a plusieurs petites volières qui accueillent des rapaces de plus petites tailles comme le milan noir, ce petit rapace visible en Europe mais aussi en Afrique qui est assez opportuniste dans son alimentation.
On peut aussi voir des caracaras à crête si particulier justement par leur crête de plumes noir sur la tête qui permet de les distinguer de tous les autres rapaces.
Il y a aussi plusieurs espèces de buses qui sont présentes comme la buse de Harris très courante chez nous en fauconnerie et reconnaissable à son plumage sombre variant entre le brun et le marron.On va ensuite croiser la route d'une buse fort commune chez nous, la buse variable qui est visible un peu partout chez nous. On la reconnait à son ventre clair et ses plumes variant sur les tons de brun.
La dernière espèce de buse présente est la buse féroce immédiatement reconnaissable à son plumage roux éclatant par temps de grands soleil. Elles sont d'ailleurs très photogéniques !
On passe dès lors par une petite parenthèse dans cette route des rapaces car en effet on se retrouve face à une volière accueillant des Bucorves du Sud, de grands calaos terrestre africains qui aime se nourrir de serpent par exemple.
Les dernières volières sont consacrées aux grands rapaces. On commence par l'aigle des Steppes qui est brun comme l'aigle ravisseur ou l'aigle royal mais donc l'ouverture du bec va bien en dessous des yeux.On peut ensuite voir un couple d'aigle royal. On peut les distinguer des steppes par des plumes avec des reflet auburn/roux et même presque "doré d'où son nom anglais de "golden eagle".
La zône se termine par une grand volière pour des pygargues à tête blanche. qui se tiennent souvent sur le tronc central ou dans l'arbre juste à côté.
votre commentaire -
La nouvelle est tombé jeudi matin, une nouvel espèces de marsupial va faire son arrivée dans le parc Pairi Daiza. Après les Wallaby de Bennett (désormais non visible, partis ?), les kangourous roux et les wombats, c'est désormais les mignons et attendrissant koalas qui sont annoncés pour cette nouvelle saison.
Il devrait déjà y avoir un koala pour l'ouverture de la saison 2016 qui serait présent dans la partie australienne du parc : Mura Mura.
Les koalas sont des animaux endémiques à l'Australie connus pour manger de l'eucalyptus à longueur de journée et dormir le reste de temps. il lui arrive parfois bien sûr de bouger... pour une nouvelle branche d'eucalyptus ;)
Les koalas sont fort rares en parc animalier, il y a peu en Belgique seul Planckendael en avait jusqu'à l'an dernier où certains de ses spécimens sont partis au Zoo Antwerpen. Il y aura donc désormais trois parcs animaliers belges possédant cette espèce rare et si particulière, c'est trois fois plus que la France où seul le Zooparc de Beauval en montre dans sa serre australienne.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires