• Le wallaby des rochers (Petrogale lateralis) est aussi connu sous le nom de pétrogale d'Australie occidentale, Il fait partie des marsupiaux les moins connus malgré son air de peluche. On connait plus les wallabys de Bennett qu'on voit beaucoup plus souvent dans les parcs zoologiques

    Le Wallaby des rochers

     

    Physique

    Le Wallaby des rochersLe pétrogale d'Australie occidentale fait une taille allant de 50 à 80 cm sans la queue, mais sa taille tourne surtout autour des 60 cm. Il a un poids entre 3 et 7kg pour une femelle quand un mâle peut aller jusqu'à 11kg. Ce qui fait qu'il est plus petit que son cousin bien plus connu.

     

     

     

     

    Alimentation

    Le Wallaby des rochersComme tous les Macropodidae (famille des kangourous, wallaby, pademelons et dendrolagues), le wallaby des rochers est herbivores. Il préfère l'herbe mais parfois il va se nourrir de tiges et de feuilles. Il peut aussi se nourrir de fruits. Il ne boit pas ou très peu d'eau à proprement parler, Il s'abreuve via son alimentation essentiellement.

     

     

     

     

    Distribution et habitat

    Le Wallaby des rochersComme son nom l'indique, on le trouve dans l'Ouest de l'Australie et plus précisément dans les milieux secs et rocailleux où il peut facilement se déplacer grâce à sa queue et ses coussinets très solides. Il va se refraichir durantles fortes chaleur dans les grottes que son milieu de vie peu offrir.

     

     

     

     

    Statut de protection

    Le Wallaby des rochersL'espèce est classée comme étant vulnérable par l'UICN et est surtout menacé par la pertes de son habitat au profit des élevages extensifs pratiqués par l'homme. il est aussi victime de la chasse par les renards ou les dingos. Dans le passé, on l'a chassé pour sa peau mais il est désormais protégé.

     

     

     

     

    Où le voir ?

    France : Zoo de la Boissière du Doré, Zoo de la Citadelle de Besançon, Zoo de Mulhouse, Zoo African Safari

    Allemagne : Zoo Dortmund, Tierpark Berlin

    Espagne : Zoo de Madrid

    Royaume-Uni : Flamingo land Malton zoo

    Tchéquie : Zoo Brno

     

    Sources

    https://fr.wikipedia.org/

    http://www.zoo-mulhouse.com

    https://www.wwf.fr/


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  • Le raton crabier est un animal cousin des ratons laveurs mais aussi des coatis, il se trouve également être un très lointain cousin du panda roux.

    Le Raton crabier

    Physique

    Le Raton crabierLe raton crabier fait entre 55 et 65 cm de longueur avec une queue qui fait environ la moitié de sa taille et dont le poids varie entre 3kg pour une femelle jusqu'à 7 pour un mâle. Il est plus mince que le raton laveur du en partie au climat tropical dans lequel il vit. Il est égalemet plus haut sur pattes que son cousin du nord.

     

     

     

     

    Alimentation

    Le Raton crabierLe raton est un animal omnivore, il peut mange des crustacés d'eaux douces comme son nom l'indique, mais également des poissons, reptiles et parfois également des fruits. Le fait d'être omnivore lui permet de varier son alimentation en fonction des saisons ou du nombre de proie.

     

     

     

     

    Distribution et habitat

    Le Raton crabierLe raton crabier vit du Costa Rica jusqu'en Uruguay et du côté est de la Cordillères des Andes.

    Il vit toujours à proximité de l'eau qui lui fournit une bonne partie de son alimentation. Il arrive que son territoire chevauche celui des ratons laveurs et dans ce cas les ratons crabiers se concentrent surtout autour des cours d'eau.

    Ils sont très friands de cachettes près de ces points d'eau et n'hésitent pas à grimper dans les arbres non plus.

     

    Statut de protection

    Le Raton crabierIls ne sont pas encore menacés se trouvant avec le statu de préocupation mineure. Il reste malgré tout soumis à la diminution de son habitat mais aussi à la pollution des eaux.

     

     

     

    Où le voir ?

    Zooparc Overloon, Pays-Bas

    Domaine Zoologique de Pescheray, France

    Papillorama de Kezers, Suisse

     

    Sources

    https://www.manimalworld.net/

    https://fr.wikipedia.org

    https://www.zooparc.nl/

     

     

     


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  • L'année 2017 se termine et c'est donc l'occasion de faire un petit bilan, de mettre en avant certains aspects de cette année parmi mes escapades zoologiques.

     

    1) La plus belle rencontre animale

    Il s'agit du raton crabier que j'ai eu l'occasion de rencontrer lors de mon Zootour de Brabant dans le sud des Pays-Bas. C'était au ZooParc Overloon au coeur de la partie consacrée à la faune amazonienne. Il est d'ailleurs en cohabitation avec des chiens des buissons dans un enclos assez spacieux au sol mais qui s'élève également en hauteur.

    J'ai vraiment trouvé cette espèce très photogénique et attirante, je les ai littéralement mitraillé de photos. Je ne vais pas plus m'étaler sur le sujet car il fera l'objet de la prochaine fiche espèce.

    Awards 2017

     

    2) Le plus bel enclos

      Passons ensuite au niveau des habitats présentés en parc avec l'énorme enclos des ours baribals et loups arctiques du Natur'ZOO de Mervent. Cet enclos nous plonge dans l'Amérique du Nord avec ses grands espaces, ses forêts. Les animaux peuvent facilement s'y cacher pour trouver la tranquilité. Ce zoo continue sur sa lancée car les prochains aménagements tendent vers la même idée : espace, cachette et beauté.

    Awards 2017

    3) la plus belle découverte

    On termine avec le parc zoologique qui m'aura le plus surpris positivement. Il s'agit ici de Zoodyssée, un parc spécialisé dans la faune française, mais aussi européenne de manière globale. Ce n'est en effet pas le plus exotiques, mais il est parfois compliqué d'observer l'ensemble de cette faune de chez nous.

    Ce parc nous permet donc d'observer une bonne partie des ces animaux parfois si discret comme les fouines, les blaireaux ou encore les genettes sans parler des cervidés de chez nous.

    Awards 2017

    Awards 2017 

     

     

     

     

     

     

     

    Awards 2017

     Awards 2017

     

     

     

     

     

     

     

    Le Zoodyssée a aussi la particularité de mettre en avant la faune locale des Deux-Sèvres comme l'outarde canepetière ou la huppe fasciée.

    Awards 2017Awards 2017


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  • Le lycaon (Lycaon pictus) est un canidé vivant en Afrique qui est fort menacé, il n'en resterait qu'environ 3000 indivudus sauvages sur le continent africains. Comme d'autres canidés, le lycaon vit en meute ou groupe familiaux ce qui lui permet de survivre dans la savane africaine.

    Le lycaons

     

    Physique

    Le lycaonIl fait parti des grands canidés comme le loup gris en terme de taille au garrot (environ 70-80 cm), mais il est beaucoup plus léger : il tourne autour des 25kg quand le loup varie entre 30 et 60 kg. En longueur, il peut faire entre 60 et 100 cm de longs sans la queue qui en fait elle 30-40 cm.

    Il est avant tout reconnaissable à ses tâches brunes sables et blanches qui sont différentes d'un individu à l'autre ce qui permet de les reconnâitre de l'extérieur mais également entre eux.

    On le reconnait aussi à ses oreilles rondes et grandes qui sont pleines de poils pour empêcher les insectes ou les parasites de s'y glisser. Ces dernières servent aussi de régulateur thermique.

     

    Alimentation

    Le lycaonLes lycaons sont comme tous les canidés des carnivores. Il chasse surtout des antilopes comme les impalas ou les gazelles de Thompson mais se tournent parfois vers d'autre ongulés comme les gnous ou les zèbres.

    Comme les lycaons sont des animaux grégaires, ils n'hésitent pas à s'attaquer à des proies bien plus grandes qu'eux comme les élans du Cap ou les koudous. 

    La technique de chasse de ces prédateurs est bien rodée avec un taux de réussite important. En effet la meute cible une proie qu'elle va poursuivre inlassablement à raisons de 2-3 individus à la fois pour maintenir la pression sur la proie qui finira par mourir d'épuisement à force de courir pour tenter de fuir; ce qu'elle ne pourra faire car les lycaons sont très endurants à la course n'étant pas des sprinteurs.

     

    Distribution et habitat

    Le lycaonLes lycaons vivent uniquement en Afrique le plus souvent dans les plaines et plateaux de savanes de l'Afrique subsaharienne. Il n'est cependant pas impossible de les croiser dans le sud du désert du Sahara ou dans les forêts au pied du Kilimandjaro. 

    Le chien sauvage d'Afrique aime passer énormément de temps dans l'eau et la beau ce qui lui permet de lutter contre la chaleur mais aussi contre les parasites.

     

    Statut de protection

    Le lycaonIl est actuellement classé "en danger" ce qui correspond au 3ème degré avant l'extinction totale. Ce classement est du à la chute de sa population qui est passée de plusieurs centaines de milliers à moins de 3 000 actuellement. Ce qui en fait un des canidés les plus menacés.

    Les dangers qui menacent l'espèce sont nombreux entre l'homme qui le chasse car il l'accuse soit de répandre des maladies soit de chasser et tuer le bétail. L'homme est aussi responsable de la perte de son habitat qui augmente les problèmes de consanguinité. Les lycaons sont aussi sensibles au maladies infectieuses comme la maladie de carré très connu chez les chiens.

     

    Où le voir ?

    Le lycaonBelgique : Zoo de Bouillon

    France : Zoo d'Amnéville, Zoo de Pont-Scorff, Zooparc de Beauval, Natur'Zoo de Mervent, CERZA, PAL, Parc animalier d'Auvergne, Domaine des Fauves, Safariparc de Peaugres, Zoo de la Palmyre, Zoo de la Teste, Zoo de Montpellier

    Pays-Bas : GaiaZOO, Safaripark Beekse Bergen, ZooParc Overloon, Natura Artis Magistra.

    Royaume-Uni et Irlande : Zoo de Londres, Zoo de Chester, Zoo de Dublin, Zoo d'Edinburgh, etc.

    Allemagne : Zoo de Berlin, Zoo de Rostock, Zoo de Francfort, Zoo de Duisburg.


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    Il s’agit de la première zone visible par les visiteurs qui entrent dans le GaiaZOO. Cette zone ne porte pas forcément bien son nom car la majorité des animaux  ne vivent pas  dans ce biome. Cette zone est en fait surtout consacrée à la faune tempérée et montagneuse de l’Hémisphère Nord. C’est aussi dans cette zone qu’il y a eu le plus de nouveauté ces dernières années comme l’arrivée des Pandas roux ou la volière de contact européenne pour l’année 2016 ainsi que l’arrivée des Macaques de Barbarie et le déménagement des lynx en cette année 2017.

    C’est d’ailleurs justement par les macaques de Barbarie que commence la visite de la zone. Ils sont arrivés à la fin du printemps 2017 dans ce qui était l’ancien enclos des lynx La taille de ce dernier a été considérablement augmentée et on y a ajouté un nombre important d’agrès. Le groupe présenté vient d’un parc zoologique écossais. Il faut savoir que c’est la seule espèce de singes qui est présente en Europe, au niveau du détroit de Gibraltar pour être précis.

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    TaïgaJuste après c’est le nouvel enclos des lynx boréaux qui est autrement plus grand que le précédent : plus de deux fois plus grand même s’il est séparé en deux parties communicantes qu’il est possible d’isoler. Ce déménagement a eu lieu au milieu du printemps 2017 et c’est l’autre grand changement qui a été fait dans cette zone. Le GaiaZOO a la particularité d’avoir un lynx leucistique dans son groupe.

     

     

     

    TaïgaAprès ces deux grands enclos, c’est un plus petit qui suit dans la visite, celui des castors, qui est bien sûr majoritairement composé d’eau avec une île entourée par un ruisseau en cascade.

     

     

     

     

     

    TaïgaOn accède ensuite à un point de vue en hauteur entre les enclos des macaques et des lynx boréaux qui permet d’avoir une belle vue d’ensemble sur les enclos.

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    TaïgaOn reste dans la faune européenne avec le glouton dans un enclos tout en pente, traversé par un cours d’eau et dont la partie centrale est fort boisée.

     

     

     

     

     

     

    TaïgaLa suite nous mène à l’enclos des bœufs musqués, en forme de croissant, constitué d’une colline herbeuse dans toute sa longueur et partiellement entouré d’eau.

     

     

     

     

     

    TaïgaJuste derrière c’est un grand enclos terreux avec un point d’eau qui abrite un troupeau de rennes avec un nouveau mâle arborant de beaux bois sur sa tête.

     

     

     

     

     


    TaïgaEn suivant le sentier, on arrive à un nouveau point de vue sur l’enclos des gloutons, ce qui termine la première partie de la « Taïga ».


     

     

     

     

     

    TaïgaLa deuxième partie commence avec une volière où sont présents des corbeaux, des cigognes noires et des hiboux grands-ducs.

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    Le loup gris, une des espèces phares de la zone, occupe un grand enclos en deux parties. La première, bien vallonnée, offre un petit point de vue pour les enfants tandis que la seconde est bien plus boisée.

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    Juste en face se trouve un enclos abritant bon nombre de ratons laveurs et de moufettes. Il contient un très grand tas de branchages, pas mal d’arbres qui servent parfois de lieux de sieste pour les ratons laveur.

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    Deux volières se suivent ensuite avec la particularité de présenter des animaux qui ne sont pas originaires de nos contrées mais sont désormais visibles chez nous suite aux abandons des gens comme les perruches ondulées, les perruches Alexandre, etc. Ces volières clôturent la deuxième partie de la Taïga.

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    Cette dernière partie commence par la volière de contact européenne qui nous présente les espèces de vautours vivant en Europe ainsi que divers anatidés et d’autres oiseaux comme des rolliers, des avocettes et… des pigeons ! La volière se compose de pas mal de rocaille mais aussi de point d’eau pour les anatidés et même quelques cascades.

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    TaïgaEn quittant la volière, on poursuit le chemin pour arriver devant le premier enclos d'une espèces emblématiques des steppes asiatiques avec les chameaux d'abords.


     

     

     

     

    Quelque peu coincé entre ces herbivores, on arrive à l'enclos des cigognes blanches et des grues cendrées qui sont présentées dans un envirronement boisé et marécageux.

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    TaïgaL'autre grands herbivores des steppes présentés est le cheval de Przewalski dans un grand en pente herbeuse.

     

     

     

     

     

     

    TaïgaOn aperçoit ensuite les derniers enclos, dont celui les loutres européennes, une rivière qui descend en cascade en plusieurs parties bien séparables si besoin.

     

     

     

     

     

    Le dernier enclos est celui des pandas roux et des muntjacks de Reeves qui est en pente bien boisée et se termine en bas par un étang assez grand où l'on verra des cygnes nains et des tadornes de Belon.

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