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Par nikkoshashin le 7 Mars 2017 à 00:33
Il s'agit sans doute de la partie la plus ancienne du parc, le cœur même de celui-ci ! En effet le parc avait démarré d'abord avec la Grande volière qui fut longtemps une des plus grande d'Europe avant d'être détrônée entre autres par celle de Doué-la-Fontaine. Le "monde" se divise en trois parties : l'Allée des perroquets, la Grande Volière et les Serres exotiques.
1) L'Allée des Perroquets
Cette partie comme son nom l'indique présente essentiellement des perroquets mais pas seulement. On commence par une volière de taille moyenne qui abrite des ara bleus qui sont souvent en hauteur.
Ils sont accompagnés par des cariamas huppés qui bien évidemment se trouvent, eux, au sol.
La volière suivante est plus petite et abrite un unique Ara Hyacinte. Une espèce de perroquet très rare très menacée entre autres par son plumage si particulier.
La volière qui suit accueille une espèce de perroquet bien connue pour son mimétisme de mots humains : le perroquet jaco ou gris du Gabon. Ils sont plus d'une dizaine dans cette volière.
On change de volière pour une nouvelle volière assez grande et surtout bien profonde. On y verra 2 espèces bien distinctes : l'argus géant (photo de la femelle en dessous) dont un couple vit surtout au niveau du sol et des aras de Coulon (photo de droite) qui sont souvent collés à la lampe infrarouge au fond à gauche.
La volière qui suit est bien plus sombre donc peu évident pour faire des photos, surtout avec une espèce qui aime beaucoup bouger : le Nestor Kéa.
La volière suivante est autrement plus bruyante et bien plus peuplée que les précédentes, en effet elle est le foyer d'une espèce bien colorée : le conure soleil !
C'est désormais une volière plus petite qui arrive sur notre chemin avec une espèce un peu plus rare : le perroquet Vasa qui vit à Madagascar et dans les Comores.
Au centre, de cet espace, on va trouver deux volières avec plusieurs espèces de perroquets comme un ara chloroptère, un cacatoès à crête jaune ou aussi un ara bleu.
On revient dans l'allée avec une volière d'une espèce de cacatoès plus petite : le cacatoès corella.
La volière qui vient sur notre gauche en continuant le chemin abrite l'un des habitants les plus célèbre du parc : Câlin, un cacatoès des Moluques qui est en collocation avec un autre cacatoès des Moluques et un cacatoès rosalbin
2) La Grande Volière
Il s'agissait pendant plusieurs années de la plus grande d'Europe. Elle est peuplée par bon nombre d'oiseaux d'Amérique, d'Europe ou d'Afrique. Dans les premiers arbres, il y a souvent des savacous huppés à distinguer entre les branches.
On va aussi assez vite tomber sur les bernaches nénés qui parfois niche carrément dans le sas de l'entrée !
Dans les premiers arbres, on va aussi trouver des hérosn garde-boeuf ainsi que parfois une aigrette garzette très discrète.
À la fin de la saison 2016, des ibis chauves ont fait leur apparition dans la volière et aiment également se balader dans les arbres.
Les ibis chauves ne sont pas les seuls à être présent dans la Grande Volière, il y aussi des ibis rouges et des ibis hagedash qui sont plus souvent autour du plan d'eau ou bien contre le grand mur de la volière.
Le long du cours d'eau on pourra aussi voir l'ibis tantale qui fait partie des cigognes malgré son nom.
On y trouvera aussi des spatules rose des huitriers pie ainsi que des eiders à duvet qui sont souvent autour voire dans le plan d'eau de la Grande Volière.
La Grande volière est aussi le domaine de grands oiseaux échassiers comme le flamant rouge de Cuba et la cigogne d'Adbim.
Certains jours, si on a de la chance, il y a une ombrette du Sénégal qui se balade près du plan d'eau; mais il faut avoir la chance de la voir...
3) Tropicalia
Ici, il faut faire attention au choc thermique car la serre est ici très humide et chaude aussi pour recréer un environnement tropical à la fois sud-américain, africain et asiatique.
Cette serre est une des plus colorée avec peut-être la volière australienne de Mura Mura. On va y trouver plusieurs espèces d'oiseaux assez variées comme les échassiers d'Amérique ou les jacanas à poitrine dorée.
Il y a une petite espèce de singe qui se balade dans toute la serre : le tamarin pinché qui aime naturellement se balader dans les arbres et parmi les branches.
Vous aurez relativement souvent la chance de croiser sur le chemin des gouras de Scheepmaker ainsi que des agamis trompettes qui aiment traverser le chemin des visiteurs.
Parmi les espèces d'oiseaux qui volent un peu partout dans la volière, on verra surtout des foudis de Madagascar, des bulbul orphée.
Deux autres espèces qui se montrent de manière régulière mais aléatoire sont le spréo royal et le mainate religieux.
Dans les espèces qu'on va très souvent retrouver au niveau du bassin que ça soit au sol ou bien dans les branches aux alentours : le caurale soleil.
Rarement éloigné du petit cours d'eau qui part de la cascade à l'entrée jusqu'au plan d'eau on verra une espèce présente depuis peu : le crabbier.
L'espèce la plus courante de la serre est qu'on est certain de voir est le nicobar à camail ou pigeon nicobar. Ils sont souvent présents dans les branches un peu partout dans la serre.
Au niveau des différents mangeoires, au sol, on verra une petite espèce d'oiseau avec un dimorphisme sexuel très prononcé : c'est le roulroul couronné.
La gallicolombe poignardée se faire assez discrète mais est relativement souvent visible, toujours au sol et assez souvent vers la sortie.
Le cossyphe à calotte blanche est aussi assez discret mais ne possède pas vraiment de point d'ancrage, peut-être près de la cascade ou autour du plan d'eau.La serre tropicale acceuille 3 volières différentes avec dans la première des Coryllis à tête bleue, en grands nombres et si particuliers par leur apparence.
La deuxième volière est habitée par des méliphages à oreillons bleus qui sont difficilement photographiés car cette volière se trouve souvent dans l'obscurité.
La dernière volière accueille un couple de toucans toco, pas évident de les prendre en photo à cause du grillage.
La serre est aussi le refuge de plusieurs espèces qui ne sont parfois désormais plus visibles.
Les 3 mousquetaires
Il s'agit de trois espèces particulièrement difficiles à avoir en photo. Forcément avec mon nombre de visite dans le parc, j'ai pu les avoir et je compte vous partager quelques clichés.
On commence avec l'éperonnier Napoléon de Palawan (et non padawan !). Quand je l'ai vu, je l'ai souvent vu juste à l'entrée sur la droite dans un semblant de petite clairière.
Ensuite, il s'agit du touraco violet qui, quand il est visible, l'est en hauteur et s'amuse parfois à faire son tour dans les branches de arbres et de manière assez rapide !
Le dernier c'est le martin chasseur que j'ai personnellement mis plusieurs années à voir enfin de mes propres yeux. Le couple a tendance à se mettre sur une branche près des murs de la serre soit au-dessus de l'eau, soit parmi les branchages près de la volière des Coryllis à tête bleue.
4) La serre désertique
Il s'agit de la dernière serre de la Porte du Ciel, fini l'humidité place à la sécheresse ! quand on entre, on est directement surpris par le bruit provoqué par les mandarins.L'autre espèce facilement visible est le choucador superbe qui aime se poser soit sur les rochers soit dans les branchages.
Au sol, on verra un mâle colin de Californie qui aime bien courir un peu partout et parfois aussi sur les rochers.Un autre oiseau vivant surtout au sol : l'oedicnème tachard qui se fait discret mais est souvent là et souvent immobile.
Le plus bel animal de cette serre est le rollier à longs brins très coloré qui vole de branche en branche et sont souvent posés sur les barres de structures de la serre.
Depuis 2016, un calao couronné est présent dans cette volière souvent sur la gauche dans le fond près des nids.
On verra aussi dans cette volière d'autres espèces de mandarins, plus colorées que celle qui est présente en nombre !
Dans le fond, dans le grand arbustes et dans les nids muraux, on pourra voir si on a de la chance, le barbican à tête rouge.
La serre est aussi habitée par les tortue à ergots dont l'enclos vient d'être étendu en fin d'année 2016.
On quitte la serre pour une dernière volière à l'extérieur, celle du géocoucou. C'est l'espèce de Bip qui est toujours chassé par Vil le coyote.
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Par nikkoshashin le 19 Août 2016 à 01:13
On repart en Asie dans ce monde et précisément dans l'archipel indonésien. Ce monde accueille un véritable temps hindou au milieu de celui-ci.
La visite de ce monde va commencer par le bas. Le premier enclos visible est celui d'un bovidés : le buffle d'eau, qui est ici en famille dans cet enclos en pente se terminant par un plan d'eau.
Les escaliers juste après cet enclos nous mène à un grand enclos qui est le domaine des macaques à crête ou de Célèbes.
Dans la partie supérieure de ce monde, c'est au tour d'une volière de taille correcte de se présenter à notre chemin. Cette volière abrite des paddas de Java.
Un peu plus loin une autre volière se trouve sur la gauche, elle accueille des étourneau de Rothschild et des argus géants. On trouve les premiers difficilement dans le haut de la volière quand les seconds sont presque toujours présent au sol.
Le voyage continue vers une espèce essentiellement nocturne et peu évidente à voir dans son enclos extérieur : le Wombat, espèce quelque peu "intruse" dans cette zone indonésienne car elle vit en Océanie. L'enclos est occupé par Eucca et Wattle.
Le voyage continue et c'est au tour de la première espèce de grand singe présente à Pairi Daiza : les Oran-Outangs de Sumatra aimant un environnement arboricole à la base d'où la présence d'agrès dans l'enclos.
Le périple continue avec les éléphants d'Asie qui sont divisés en deux partie, le temple d'Ani en l'honneur d'une éléphante décédée il y a quelques années qui abrite les éléphantes les plus agées et la grande plaine asiatique où l'on peut voir la famille reproductrice et notamment la célèbre Nang Faa née en juin 2015.
Cette plaine asiatique, les éléphants la partage avec des antilopes cervicapre et bientot des cerfs d'Eld.
Le voyage en Indonésie se termine avec le dernier enclos: le temple des Tigres blancs. Il s'agit de deux frères et sœurs: Mumbaï et Sanka. Mumbaï est le plus massif des deux.
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Par nikkoshashin le 4 Mai 2016 à 21:30
C'est une serre qu'on pourrait diviser en 2 parties : le restaurant et le safari. On va bien sûr s'intéresser ici uniquement à la partie safari.
En entrant, on va aller sur la droite directement et nous arrivons aux premiers oiseaux visibles : les guêpiers. On en verra des guêpiers carmins et aussi des guêpiers à front blancs.
Juste en face, on a une volière qui accueille une première espèce de touraco, le touraco pauline. Les deux spécimens y sont très vifs et il n'est pas forcément aisé de les prendre en photo. Ils sont en cohabitation avec un caurale soleil
Dans les environs en liberté, on verra assez régulièrement des touracos à joues blanches qui aiment se balader surtout dans les branches présentes autour de cette première volière.
On continue le chemin et sur la droite une volière assez importante accueille un couple de calao papou.
Entre temps, cette espèce a été remplacée par un marsupial indonésien : le couscous des Célèbes.
Juste en face se trouve la volière d'une autre espèce de calao : le calao à casque plat. Le couple qui s'y trouve aime parfois passer du temps par terre et se déplacer en sautillant.
On poursuit notre route pour traverser l'enclos des tortues à ergots via un petit pont. En début de saison, les tortues sont parfois dans la serre désertique si les températures s'avèrent trop fraîches.
Après avoir laissé l'enclos des platémydes on aura sur notre gauche la volière des tamarins pinchés. c'est le couple reproducteur du parc dont les petits se baladent dans la serre tropicale désormais.
On reste sur le chemin et là nous avons à gauche un enclos consacré aux mangoustes naines. Il s'agit du plus petit carnivore du continent africain.
Après l'Afrique, c'est au tour de l'Asie d'être représentée par les loutres cendrées. Elles aiment se déplacer en groupe et se regroupent parfois dans le le tronc creux présent dans leur enclos.
La visite se poursuit et sur la droite c'est au tour de la dernière espèce de calao d'être présentée : le calao festonné.
en face c'est une volière composée d'un multitude d'oiseau assez bruyant qui se dresse devant nous. Il s'agit des tisserins qui sont très connus pour la forme particulière de leur nid.
En continuant par le bas, une série de vivarium va se présenter à nous avec par exemple des gecko de Madagascar.
Dans l'île en face, on y verra souvent plusieurs espèces d'oiseaux vivant en liberté dans la serre comme les Gourra de Scheepmaker ou une perruche royale.
Il y a d'autres oiseaux qui sont en liberté dans la serre et ils sont assez nombreux : mainate religieux, rolier à longs brins, ibis à crâne chauve, etc.
L'espèce star de l'Oasis est le paresseux à deux doigts qui est ici représenté par Laya une femelle que l'on verra toujours en hauteur mais pas si souvent en mouvement.
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Par nikkoshashin le 16 Mars 2016 à 23:13
La Terre des Origines est le monde représentant l'Afrique avec assez peu d'oiseaux.
1) Nosy Komba
En venant de la Cité des Immortels, on peut directement voir sur une île sur laquelle est bâtie une case et où vivent des colobes de Guéreza. Ces singes sont reconnaissables à leur queue qui se termine comme un pinceau blanc.
On va continuer vers la gauche le long du chemin de fer, sur notre droite va se dresser un archipel composé de deux îles, il s'agit de Nosy Komba. Cet archipel se compose de deux îles : une grand et une petite. La grande îles accueille un groupe de Maki Catta.Cette première grande île est aussi peuplée par une espèce d'oiseau particulier : les flamants nain que l'on peut voir depuis le ponton d'accès à l'île mais aussi depuis un point de vue dans une case.
On va continuer notre chemin pour accéder à la seconde île de l'archipel qui est le domaine de deux espèces de lémuriens. Il y a les varis panda ou noir et blanc ainsi que des varis roux qui ont la tendance à particulièrement se faire entendre dans toutes la Terre des Origines quand ils font leur vocalises territoriales.2) La savane
On retourne sur le chemin que nous avions quitté pour visiter Nosy Komba et poursuivons notre route. sur notre gauche, on atteint l'enclos des hippopotames. On y trouve un couple avec leur jeune né en 2014.
Le "safari" se poursuit et toujours sur notre gauche, c'est l'enclos des rhinocéros blanc qui est visible. il s'agit de 3 rhinocéros blanc qui cohabitent avec une famille de phacochères (Pumba).
Sur notre droite, on arrive à l'enclos des gnous bleus. cette espèce peut vivre dans de très grands groupes de plusieurs dizaines d'individus, mais ici c'est un couple qui a désormais un petit chaque année.
On reste sur le chemin principal droit devant nous et sur notre gauche c'est au tour des éléphants d'Afrique de se montrer à nous. Il s'agit de deux éléphantes, l'une venant d'un domaine privé et l'autre ayant été saisie dans un cirque allemand. Cette dernière se reconnait à sa queue coupée.
Comme depuis le début de ce circuit, nous verrons sur la droite une belle cascade qui donne sur la plaine africaine où se cotoye plusieurs espèces. Il y a un troupeau de Zèbre de Burchell, un hippotrague noir et des buffle du cap. Cet enclos est parfois "squatté" par des grues couronnées.
On reste sur le chemin et tout de suite sur notre droite, on peut voir l'enclos des guépards. Dans cet enclos se trouve deux mâles et une femelle.
Après l'enclos des guépards on descend par l'escalier pour atteindre l'enclos des léopards. J'ai décidé de mettre cet enclos dans la Terre des Origines car il s'agit d'espèces censées représenter l'Afrique. Les deux léopards sont âgés et seront probablement remplacés par des Panthères du Sri Lanka une fois décédés.
3) Le village
On continue la descente par un chemin sinueux pour avoir une vue sur l'enclos des girafes. Deux jeunes sont nés récemment: Kitoko en 2014 et Esengo en 2015.
Les girafes partagent leur enclos avec des boeufs Watussi que l'on reconnait à leur couleur presque rouge et leurs énormes cornes blanches.
On continue notre chemin et on entre véritablement dans le village africain, très vite à droite se trouve un enclos qui abrite un troupeau de potamochère cousin des phacochères. Ils aiment beaucoup se suivre et tourner en rond autour des rochers qui sont souvent occupés par l'autre espèce de l'enclos : les suricates ! Vous vous retrouvez ainsi face à Timon.
C'est là qu'on arrive au principaux animaux de ce monde africain, il y a d'abord les hyènes tachetées qui sont assez prolifique ces dernières années avec pas mal de naissance, comme l'an dernier avec deux jeunes.
Un peu plus loin se trouve l'enclos d'une des espèces stars du parc : les lions ! Le clan est "dirigé" par Dany un superbe lion générique avec du sang Atlas qui donne cette belle crinière noire. Comme beaucoup de lion, c'est un grand paresseux et il n'est pas le plus actif...
Il a comme compagne Dana une lionne qui a déjà donné naissance à 6 petits en deux portée. Sa première portée était composée de 3 mâles ( Simba parti à Naples, Congo parti à Chypre, Kenya toujours au parc) et une femelle Malindi qui est toujours au parc également. Sa dernière portée était composée de deux mâles : Tambo et Mandela. Dana aime bien s'installer sur le tronc d'arbre couché situé au milieu de l'enclos.
Parmi les derniers né voici Mandela ainsi nommé en l'honneur du défunt ex-président Sud-Africain.
On traverse la "place' du village pour arriver à une volière qui est habitée par des inséparables qui repèrent le moindre trou pour fuger et voler dans les environs de la volière.
On part sur la gauche pour arriver à une dernière volière nous présentant divers espèces d'échassiers : le marabout d'Afrique, le bec-ouvert africain et en fin de saison la cigogne noire.
On fait demi-tour pour atteindre le village lacustre au pied du Mersus Emergo où l'on peut voir des otaries nager dans l'eau du lac, il leur arrive de sortir de l'eau pour se chauffer un peu au soleil. Ainsi se termine la visite de la Terre des Origines avant celle du Mersus Emergo.
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Par nikkoshashin le 10 Février 2016 à 22:18
La Cité de Immortels est la partie du parc consacrée à la Chine. Elles se divise en trois parties, le jardin chinois, le chemin de la guérison et enfin la montagne sacrée. Une 4ème partie devrait bientôt voir le jour avec le temple bouddhiste et son vivarium asiatique.
1) Le jardin chinois
Il s'agit du plus grand jardin chinois d'Europe, il est présenté sur une pente que l'on descend au milieu d'une forêt de bambou. Il y a également une cascade qui donne sur un plan d'eau, le tout est particulièrement beau.
La balade dans le jardin chinois commence par un enclos occupé par des grue du Japon si belle avec leur tache rouge et leur cou noir.Un peu plus loin, on verra un couple de panda roux qui a eu un petit cette année. Ils font assez souvent la sieste mais vous aurez peut-être la chance de les voir en train de manger leur branche de bambou.
On commence la descente avec à notre droite un enclos occupé par des petits cervidés qui se nomme muntjack indien. C'est un petit cervidés qui se défend avec ses canines et non ses petits bois.
Un peu plus bas encore on se retrouvera face à un "intrus" de la Cité des immortels, il s'agit en effet des loutres géantes qui sont en vérité originaire de la forêt amazonienne. Elles sont parmi les plus grands prédateurs d'Amériques du Sud. Les deux mâles se montrent particulièrement bruyant...2) Chemin de la Guérison
Cette partie de la Cité des Immortels est consacrée aux grues et aux cigognes dont on trouve ici une grande variété. On commence par les grues du Japon qu'on retrouve après en avoir croisé plus haut.
Un peu plus loin sur la gauche c'est une autre grue que l'on retrouve. Il s'agit de la particulièrement belle grue demoiselle de Numidie qui pourtant malgré son nom vit en majorité en Asie.
En continuant le chemin qui est très bien balisé, on verra la belle et gracieuse grue à cou blanc que l'on retrouve dans les grandes vallées humides d'Extrème-Orient.
La visite mène à un enclos assez vaste regroupant plusieurs espèces d'oiseaux, il y a des cigognes blanches que l'on trouve en Europe et qui est le symbole de la région Alsacienne. On y verra aussi de Cygne de Bewick.On y trouvera parfois des intrus comme des hérons cendrés sauvages qui viennent parfois squatter en nombre (7 en même temps la dernière fois) l'enclos sans pour autant déranger les habitants de l'espace.
On continue la visite avec une espèce "intruse" avec le Jabiru du Sénégal qui arbore les 3 couleurs nationale belge ce qui fait son effet le 21 juillet.
Un peu plus loin on verra une espèce de grue à la tête assez particulière, la grue de Paradis. Elles ont aussi la fâcheuse tendance de fuguer de leur enclos, il n'est donc pas rare de les voir dans les environs de leur enclos.
Un espèce de grue a fait son retour l'année passée dans le parc, il s'agit de la grue de Sibérie avec son superbe plumage blanc éclatant.
Le chemin de la guérison se termine avec une autre espèce de grue qui est revenue l'année dernière : la grue à cou noir.
3) La montagne sacrée
C'est la dernière partie consacrée à la Cité de Immortels, c'est la partie la plus récente de cette zone qui a été aménagée en 2014 avec l'arrivée des animaux stars duparc : les pandas !
La première espèce visible est pourtant la panthère des neiges représentées par un couple aux relations un peu tumultueuses pour le moment. On commence avec la femelle nommée Leïla qui nous vient d'Allemagne, elle aime se tenir sur son rocher pas loin du temple. Elle bouge quand même assez souvent dans son enclos.
L'enclos suivant est celui du mâle qui porte le nom de Jeti (à prononcer comme l'homme des neiges du Tibet. Il aime beaucoup observer le takin doré qui semble lui donner envie... C'est un assez grand amateur de sieste dans divers endroit de son enclos.
Juste après les félidés, on peut voir une espèce d'ongulés asiatiques montagnard : le takin doré dont le pelage blond rend très bien par temps ensoleillé.
C'est ainsi qu'on arrive au couple d'animaux star de Pari Daiza : les pandas géants. En venant des takins, on verra d'abord Xing Hui le mâle qui a clairement un penchant pour la sieste et ne bouge qu'au matin durant le nettoyage des loges intérieures.
Enfin pour terminer la zone on verra la femelle qui porte le doux nom de Hao Hao qui est bien plus active que le mâle. Elle fait d'ailleurs parfois de belle cabrioles comme ici avec son arbre.
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